My lord, mon seigneur, mon dieu, mon maître, mon amour
Je t'aime, je vais pas dire que c'est depuis toujours
Tu sais bien que non, et puis ça fait commun
Aller viens, on vivra des jours incertains
On fera rien comme tout le monde et on sera heureux
On ira contre le monde, tous contre nous deux
A mort les cliché, l'amour et l'eau fraîche c'est cons
Nous on vivra de bière et de saucisson
Et mon cœur s'emballe
Et ne je pense qu'à toi
Ma raison se fait la malle
Et je t'aime déjà
Je t'aime malgré moi
Maudit cœur amoureux
Mais ma tête est déjà
Bien plus haut que les cieux.
Et mon cœur s’emballe
Et ne je pense qu'à toi
Ma raison se fait la malle
Je n'écris plus que pour toi.
fin 2010
Tu es ma bénédiction
Mon ange, ma toute belle
Et moi fille du démon
Je t’arracherais les ailes
fin 2010
Je réalise qu’après avoir utilisé ma dernière carte
Avoir un peu changer de chemin, je ne rêvais plus de partir
Mais je ne crois pas que j'étais heureuse pourtant, j'attendais la délivrance
Je savais à présent que le temps est précieux et que j'en ai perdu à vouloir mourir
Et maintenant que je suis parti
Maintenant que j'ai une autre vie
Maintenant que tout les jours je meure d'épuisement
Je ne pense plus à partir, j'en ai pas le temps
Mais suis-je heureuse ici
Est-ce comme ça que j'imaginais ma vie
Dans une ville pas plus grande que celle que j'ai quittée
Cette ville que je haïssais pour trop souvent m'ennuyer
Je crois que je suis devenue raisonnable, je n'imagine plus
Dépenser l'argent de ma mère pour des rêves incongrus
Je fais sagement mes études et attend le moment
Ou j'aurais de quoi partir et enfin le temps
Pourvu qu'un jour je cesse d'en rêver
Pourvu qu'un jour je puisse m'en aller
fin 2010
Je m’enfuirais les yeux rivé sur mes pensées
Sans avoir peur et sans faire aucun bruit
Heureuse j’écrirais jour et nuit.
2008
A jeter des paroles en l'air, parfois je me demande si elles ne touchent pas les nuages...
C’est pas que je ne t’aime pas mais si tu pouvais te la fermer quand même ça m’arrangerais…
J'ai l'impression de passer ma vie à devoir me lever tôt...
Je crois que je ne peux pas avoir plus mal, c’est pour ça que je sens plus rien.
De l’extérieur on voit rien, la façade parait inébranlable, mais je suis toute cassée de l’intérieure.
Un peu comme si on secouer une boite en carton avec un figurine de cristal à l’intérieure, la boite elle va pas se casser et si on l’ouvre pas on peut pas voir qu’à l’intérieur tout est en mille morceaux.
Approximativement cinq minutes, le temps de vie d'une cigarette.
Bordel de nom de dieu de chiotte de saloperie de merde à la con !
Je crois pas que je t’aime, mais j’ai carrément mal de partout quand je m’imagine sans toi
Je veux pas que tu partes, je voudrais que tu reste là.
Je veux pas partir sauf si tu veux bien venir avec moi.
Rien que trois morceaux de rien.
Photo : Izis