ecritures.libres
Ecrire c'est vivre en mieux !
balancé le : Lundi 21 septembre 2009 à 19:05
J’aurais voulu que tu me dise
Tant de chose sur mes beaux yeux
Mais en fait tu me méprise
Cupidon aurais pu faire mieux.
Je crois bien que je m’éternise
Dans mes sentiments amoureux
Mais il faut bien que je me maîtrise
Il n’y aurai jamais de nous deux.
balancé le : Samedi 12 septembre 2009 à 22:51
Je voudrais que tu m’appartienne
Je voudrais te faire mienne
Mais tu n’es pas à moi
Pourquoi ?
Je voudrais être cruelle
Te priver de ta liberté
Je voudrais tant ma belle
Que tu ne puisse plus t’envoler
Je voudrais te contrôler
Faire tout pour que tu ne t’échappe pas
Je voudrais te posséder
Mais tu ne reste pas
Alors je suis jalouse
Je t’en pris reviens moi
Alors je suis jalouse
Ridicule n’est-ce pas ?
Car tu m’appartiens pas
Car jamais tu ne serais à moi
Je voudrais te mettre en cage
Mais c’est sans compter
Sur ta colère, ta rage
Ta soif de liberté
Photo : Richard Avenon
balancé le : Samedi 12 septembre 2009 à 22:49
Comme une fleur
Mon cœur
Je voudrais t’effeuiller
Te déshabiller
Te priver
De tout tes atours
Mon amour
Tant désiré
Image Adolie Day
balancé le : Lundi 7 septembre 2009 à 21:36
Au début, il y a la feuille de classeur, le cahier de brouillon, la nouvelle page sur l'ordi, le dos d'une publicité, l'encadré prévu pour écrire le texte sur le blog, le tract plier en quatre...
Peu importe qu'il y ai des lignes des couleurs ou quoi que se soit.
Peu importe qu'il ai des images ou des taches
Au début c'est toujours blanc, blanc de ses mots.
Après il y a le stylo, le feutre, le crayon de couleur, la plume...
Peu importe la couleur, la texture, il y a cette chose au bout des doigts.
Et Après il y a les mots, hésitants ou rapides, soigneux ou brouilonneux, raturés ou soulignés.
Peu importe la forme, peu importe la langue, ce sont toujours des mots.
Ensuite il y a le texte, le sens ou le non sens, après tout peu importe.
De la liste de course à la réflexion sur la critique de la raison pure, c'est toujours un texte.
Et au dessus ou en dessus ou même à côté, rataché au stylo, il y a la personne.
Femme, homme ou au milieux des deux, enfant, ado, adulte, vieux ou entre deux âges, peu importe qui où et quand.
Il ya toujours cette personne qui écrit.
Qu'il soit jeter, brûler ou conservé précieusement, le texte sera toujours un texte.
Peu importe le but, peu importe l'histoire.
Tant qu'il y aura des mots et des personnes pour les écrirent il y aura ces textes et une chance pour que parmi aux il y ai une histoire qu'un jour on lira.
Peu importe qu'il y ai des lignes des couleurs ou quoi que se soit.
Peu importe qu'il ai des images ou des taches
Au début c'est toujours blanc, blanc de ses mots.
Après il y a le stylo, le feutre, le crayon de couleur, la plume...
Peu importe la couleur, la texture, il y a cette chose au bout des doigts.
Et Après il y a les mots, hésitants ou rapides, soigneux ou brouilonneux, raturés ou soulignés.
Peu importe la forme, peu importe la langue, ce sont toujours des mots.
Ensuite il y a le texte, le sens ou le non sens, après tout peu importe.
De la liste de course à la réflexion sur la critique de la raison pure, c'est toujours un texte.
Et au dessus ou en dessus ou même à côté, rataché au stylo, il y a la personne.
Femme, homme ou au milieux des deux, enfant, ado, adulte, vieux ou entre deux âges, peu importe qui où et quand.
Il ya toujours cette personne qui écrit.
Qu'il soit jeter, brûler ou conservé précieusement, le texte sera toujours un texte.
Peu importe le but, peu importe l'histoire.
Tant qu'il y aura des mots et des personnes pour les écrirent il y aura ces textes et une chance pour que parmi aux il y ai une histoire qu'un jour on lira.
Bordel rangé dans : Ecritures Libres
Là je parle de : début, et puis je raconte ma vie aussi
Rend moi célèbre :
M.I. pour vous servir
balancé le : Lundi 7 septembre 2009 à 21:22
On peut être heureux de finir un livre, et heureux de commencer un bouquin
On peut être heureux de se débarrasser de son taf, et heureux de démarrer un nouveau job.
On peut être heureux de commence à écrire, et heureux d'enfin lacher son stylo.
On peut être heureux de se débarrasser de son taf, et heureux de démarrer un nouveau job.
On peut être heureux de commence à écrire, et heureux d'enfin lacher son stylo.
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Rend moi célèbre :
M.I. pour vous servir