Que des profondeurs abyssales et c’est bien peu de chose un boucan d’enfer pour une si petite note, rien courir vers n’importe où sans but et quoi d’autre que n’aurais-je pu te voir souffrir et mourir en un seul coup de pied et danse encore jusqu’au jour où la nuit est incertaine et la lune se fait timide les étoiles moqueuse la scène et se fou de temps qu’il fait qui passe au fond du trou et jamais de lumière ni joie la tristesse empli ses yeux sans jamais de larme ni de pluie sécheresse et désert que de sable une plage sans jamais d’eau, plus de mer ni de marin plus de pierre ni rien un cœur à l’envers une tête déchirée sans raison lui rien d’autre déraison et folie pour une suite de tout qui ne veulent rien dire et écrire trois fois rien pour tout dire.
Une vérité pire que les mensonge plus blessant encore mais moins ennuyeux comme un baiser de mort sur des lèvres hasardeuse et le gout du fruit défendu est fatale, mort bien douce gout amer de tuerie autour des lèvres jamais rien n’est de plus autour du centre du monde et moi rien que tout ne fasse plus de peur ni de courage un vide et un mur qui fonce droit sur nous la douleur se fait pesant sur ma raison et la folie s’empare de moi me lassera t’elle le temps d’un adieu dire les vérités majestueuse qui brillent un peu trop pour être vrai et déjà repartie avant l’aube du moment un repose sans éternité jusqu’au jour où à quel moment le mur se brise et la glace tombe le sourir fend en deux le visage et plus rien n’est moins sûr, le rire moqueur les yeux plein de doute pire que la peur alors et boit du poison comme le lait qui nourrit l’enfant meure comme tombe une feuille avec légèreté et la nuit se fait douce.
Alors qu’éclabousse quelque mot sur une feuille et remplis au fil des pages suivant le sens des lignes les mots n’ont pas de sens ni de raison, la folie règne sur les pages le stylo et la main qui trace les lettres encore plus sur la tête qui les expulse vers le blanc de la feuille jusqu’à ce qu’aucun mot ne trouble plus rien. La fin.
Illustration : Miss.Tic
J'ai des millions d'images qui sont passées devant mes yeux en te lisant. Je crois que j'étais folle l'espace de trois minutes.